Debout la République 11ème Circonscription du Pas de Calais - -Hénin Beaumont - Carvin

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Créé le : 27/07/2008 15:06
Modifié : 18/03/2012 16:44

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Sortie de l'Euro : Débat Dupont-Aignan / Benhamias

24/11/2010 23:05

Sortie de l'Euro : Débat Dupont-Aignan / Benhamias


http://www.dailymotion.com/video/xfr3ea_sortie-de-l-euro-debat-dupont-aignan-benhamias_news




Dupont Aignan candidat de la sortie de l'euro

24/11/2010 23:00

Dupont Aignan candidat de la sortie de l'euro


http://www.dailymotion.com/video/xfq2g4_dupont-aignan-candidat-de-la-sortie-de-l-euro_news




Les 4 verités

24/11/2010 22:57

Les 4 verités


http://www.dailymotion.com/video/xflwsc_les-4-verites_news




DSK, le taliban de la globalisation

24/11/2010 19:21

DSK, le taliban de la globalisation


 

Alors que tous les travers de la déréglementation et de la construction européenne sont aujourd’hui exposés en Irlande, Dominique Strauss-Kahn a proposé la semaine dernière d’aller encore plus loin dans cette voie, au mépris des nations et de la démocratie.

Sus aux Etats-nations !

Alors que les gaullistes arrivent à concilier la culture internationaliste Française avec un fort attachement à la patrie, chez les socialistes, cet internationalisme semble aller de pair avec une volonté d’effacer les Etats-nations. Le patron du FMI développe un agenda politique assez stupéfiant : unification du marché du travail, allongement de la durée du travail, recours à l’immigration pour compenser la démographie continentale, transferts de pouvoir vers la Commission, impôt européen…

Il soutient ainsi « qu’il est temps de changer de cap. Le centre doit prendre l’initiative dans tous les domaines clé pour assurer le destin commun de l’Union, notamment en matière de politique financière, économique et sociale. Les pays doivent être disposés à céder plus d’autorité au centre ». Il propose « la création d’une autorité budgétaire centralisée aussi indépendante politiquement que la BCE. L’autorité fixerait les orientations budgétaires de chaque pays membre et allouerait les ressources ».

S’il reconnaît que sa proposition est « audacieuse » et « peu probable dans un avenir proche », il précise qu’il veut « ôter la responsabilité principale du maintien de la discipline budgétaire et des réformes structurelles au Conseil (afin) de réduire le risque que des intérêts nationaux étroits interfèrent avec la mise en œuvre effective des règles communes » et propose que ce soit la Commission Européenne qui jouent ce rôle tout en lui donnant de nouvelles ressources par un impôt européen.

La démocratie entre parenthèses

Fort heureusement, ces propositions sidérantes n’ont quasiment aucune chance d’être mise en place, même si Dominique Strauss-Kahn était élu à la présidence de la République. L’Allemagne, comme le montre l’arrêt de sa Cour Constitutionnelle, refusera sans nul doute ce coup de force supranational. Et ce n’est pas la très souverainiste Grande-Bretagne qui pourra accepter un tel coup de force en faveur de bureaucrates apatrides. Mais tout ceci est doublement révélateur.

Tout d’abord, cela montre à quel point Dominique Strauss-Kahn est à côté de la plaque. Alors que cette crise a mis en lumière les dangers de la déréglementation, ce « socialiste », ne propose rien pour corriger ses excès, et se concentre sur l’organisation des pouvoirs. Les seules propositions de fond sont une volonté d’allonger la durée du temps de travail ainsi qu’une uniformisation des marchés du travail dont on se doute qu’elle ne se ferait pas par le haut ou sur les normes Françaises…

Mais pire, cela révèle le penchant profondément anti-démocratique de ces élites social-démocrate-chrétiennes. En effet, Dominique Strauss-Kahn propose très clairement une mise entre parenthèse de la démocratie puisqu’après la politique monétaire, ce serait la politique budgétaire qui serait totalement retirée de la tutelle des hommes politiques, et donc du choix démocratique des peuples. Les élections ne serviraient alors qu’à choisir qui inaugurerait les chrysanthèmes.

Merci Dominique Strauss-Kahn ! Merci de montrer de manière transparente le fond de la pensée d’une certaine élite politique qui veut mettre entre parenthèse la démocratie pour imposer un agenda néolibéral puissamment inégalitaire. Nous saurons pourquoi nous nous battrons contre vous.

Merci à Charles, à qui j’ai en partie emprunté le titre dans un de ses commentaires postés sur Facebook.

Laurent Pinsolle

http://gaulliste-villepiniste.hautetfort.com/






Sarkozy à des journalistes: «Amis pédophiles, à demain»

24/11/2010 10:03

Sarkozy à des journalistes: «Amis pédophiles, à demain»


Sarkozy à des journalistes: «Amis pédophiles, à demain»

sarko-otanLes «nouveaux habits» du président Sarkozy n’auront pas tardé à se déchirer en lambeaux. Pourtant, cette fois, après son intervention télévisée du 16 novembre, c’était sûr, c’était la bonne. «Plus calme», «plus modeste», «assagi», «au-dessus de la  mêlée»: l’homme se fondait enfin pleinement dans la fonction.

 

La fiction aura duré trois jours, le temps que l’affaire Karachi le rattrape. Vendredi 19 novembre, en déplacement à Lisbonne pour le sommet de l’OTAN, une trentaine de journalistes français attendent que le conseiller diplomatique de l’Elysée, Jean-David Levitte, vienne leur parler en off. Mais c’est le président de la République lui-même qui se présente. «Approchez, approchez», le président use d’un micro pour se faire mieux entendre, et commence à discourir de l’OTAN, des otages français, de la situation économique. Puis un journaliste ose poser une question sur Karachi.
Le président commence relativement calmement, reprenant presque mot pour mot le communiqué de presse envoyé précédemment par Claude Guéant  dans lequel il est dit que « Nicolas Sarkozy est victime d’une rumeur malveillante et d’allégations calomnieuses qui ne reposent sur aucun commencement de preuves». Le président ajoute que «la presse raconte n’importe quoi». Mais quand il lui est rappelé que son nom figure notamment dans des documents montrant qu’il a donné son aval à la création d’une société-écran luxembourgeoise par laquelle transitaient les commissions, il «pète les plombs» selon de nombreux journalistes présents en s’adressant à celui qui a osé lui poser la question.
«Qui vous a dit ça ? Vous avez eu accès au dossier ? Charles Million a une intime conviction. Et si moi j’ai l’intime conviction que vous êtes pédophile ? Et que je le dis en m’appuyant sur des documents que je n’ai pas vus…»
«Survolté», «hors contrôle», le président ne s’arrête plus. Sa diatribe dure une dizaine de minutes, pendant lesquelles, à plusieurs reprises, il reprend la comparaison. Finalement, il clôt son intervention, tourne les talons et s’en va en déclarant: «Amis pédophiles, à demain.»
Les journalistes français se regardent interloqués, notamment les «journalistes diplomatiques», qui n’ont pas l’habitude des dérapages du président. Dix minutes plus tard, l’entourage de Nicolas Sarkozy revient, conscient de l’énormité du discours, et insiste lourdement: «C’était du off, rien que du off.» Le micro du président était toutefois branché à une console. Plusieurs journalistes ont la possibilité de faire fuiter les sons, ils préféreront «les écraser»: «Tout le monde est off ou personne n’est off», nous ont expliqué certains d’entre eux.
Le lendemain, lors d’une conférence de presse officielle, Nicolas Sarkozy répondra de façon plus posée à la question d’un journaliste sur le sujet. Mais sans apporter de réponses précises. Ni dissiper le malaise apparu dès sa première intervention publique sur le sujet, le 19 juin 2009, à Bruxelles.
Michaël Hajdenberg
http://www.gaullisme.fr/?p=10757






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